S’il y a bien un acteur de la beauté qui n’encourage pas à la surconsommation cosmétique, il s’agit sans le moindre doute d’estime&sens. Depuis sa naissance il y a bientôt 10 ans sous l’impulsion de son esthéticien de créateur, Yann Maurel-Loré, elle s’est au contraire distinguée par son approche à contre-courant.
Aussi, ses crèmes visage s’utilisent aussi bien en soin de jour que de nuit, tandis que ses sérums peuvent également se détourner en soins pour le contour des yeux, une notion de 2 en 1 pensée pour permettre à ses adeptes d’acheter moins de produits mais de meilleure qualité. La marque française va encore plus loin dans sa démarche, comme par exemple à travers son Baume Souverain, un soin multiusages qui compte parmi ses produits emblématiques.
Dans son généreux flacon 150ml, cet onguent certifié bio et aux multiples talents n’a pas son pareil pour venir réconforter coudes, genoux, pieds, mains et toutes les zones très sèches d’une manière générale. Un produit dont on se délecte dans l’intimité de notre salle de bains mais qu’on pourra aussi désormais toujours avoir à portée de mains puisqu’il se décline, le temps d’un hiver, dans un pratique format 50ml. L’incarnation même du célèbre « petit mais costaud » tant sa formule se révèle un parfait bouclier protecteur des peaux sèches à très sèches.
Cire d’abeille, beurre de Karité bio, huile de noyaux d’Abricot bio, huile de Macadamia bio, huile de graines de Tournesol bio, huile de noix de Coco bio… on n’y retrouve rien que des ingrédients réconfortants pour la peau. Sa recette empreinte de bon sens a été pensée en harmonie avec la philosophie estime&sens qui préfère définitivement faire la part belle à des ingrédients classiques et reconnus depuis toujours à la quête du nouvel actif davantage choisi pour sa propension à faire le buzz qu’à véritablement prendre soin de la peau exposée au froid. Nez, oreilles, mains, ou tout simplement en crème visage, gageons que ce baume, méritant son appellation de souverain, ne quittera pas la poche de notre manteau jusqu’au retour des beaux jours.