Première eau de parfum BAÏJA

Si ses formules bienfaisantes à haute teneur en ingrédients naturels et son sens de l’esthétisme s’exprimant dans chacun de ses élégants patterns contribuent indéniablement au succès sans cesse grandissant de Baïja, c’est avant tout, avouons-le, ses addictives fragrances qui nous rendent si impatientes de découvrir chaque nouvelle création de la maison française.

La promesse, toujours tenue, d’un voyage émotionnel fort, faisant écho en nous à des souvenirs précieux.
Des fragrances qui enveloppent à la fois le corps et l’esprit, d’audacieuses pyramides olfactives qu’on a cent fois rêvé de pouvoir porter en parfum.

Un ardent désir qui devient enfin réalité puisque Elisabeth Arnaud et Fabrice Saïd, le couple à l’origine de Baïja, déclinent pour la toute première fois une de leurs enivrantes collections à travers une eau de parfum qui risque fort de nous accompagner tout l’été, et bien plus encore. C’est en e et l’une de leurs créations iconiques qui se voit ainsi revisitée, et en l’occurrence Vertige Solaire dont les notes suaves et lumineuses de Tubéreuse et de Bergamote semblent n’avoir été créées que dans le seul but de devoir se rencontrer.

Acidulée, douce et pétillante, la Bergamote en tête est à elle seule une véritable invitation au lâcher-prise. Et lorsqu’elle rencontre en coeur l’extrême féminité de la Tubéreuse, fleur qui pendant la Renaissance fût même interdite aux jeunes femmes tant on imaginait qu’elle pourrait trop les troubler, ce sont nos sens qui sont mis en émoi.
À la fois tonique et sensuelle, osée et ra née, cette fragrance enivrante laisse s’exprimer en fond des notes de Musc qui lui confèrent encore davantage de caractère. Ce jus résolument optimiste est magnifié par un flacon minimaliste, simplement rehaussé d’un bouchon en bois, dont les courbes intemporelles lui confèrent une élégance toute française.